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Jean Painlevé

science et fiction

Lorsqu'en 1927 Jean Painlevé apparaît pour la première fois derrière la caméra pour tourner " L'œuf d'épinoche ", film qui devait accompagner une communication à l'Académie des Sciences, se doutait-il qu'il débutait là un " job " 1 qu'il allait poursuivre jusqu'à la fin de sa vie ? Il laisse derrière lui une filmographie comportant près de 200 films, pour la majorité des films dont le sujet est le monde d'animaux marins  : crevettes, pieuvres, oursins et autres crustacés et mollusques. Comment se fait-il que lui, fils de Paul Painlevé, placé en des observatoires si propices pour filmer les grands de ce monde, ne l'a-t-il pas fait ? Pourquoi s'être obstiné à fixer son objectif sur des vedettes qui n'en sont pas selon les critères habituellement admis ? Une énigme pour certains chercheurs et historiens de cinéma. Je n'ai pas de réponse à donner. Painlevé était-il plus à l'aise avec ses animaux qu'avec ses pairs ? Ou peut-être la question n'est-t-elle pas tout simplement bien posée.

Jean Painlevé
Epoque des surréalistes - 1923
 Jean Painlevé - 1927
 Jean Painlevé - 1928

Les films de Jean Painlevé s'inscrivent dans un mouvement de révolte, de rébellion contre l'ordre, ce n'est donc pas par hasard si la présence animale est si envahissante. De tous les temps, quand l'homme veut exprimer ses doutes, son espoir, il se sert des animaux.

Jean Painlevé est élevé par sa tante, Marie, veuve et sœur de Paul Painlevé, après que sa mère, Marguerite Petit de Villeneuve est emportée par la fièvre puerpérale peu de temps après sa naissance. Ses études se déroulent de façon peu spectaculaire. Il ne chahute pas en classe, tout simplement il n'écoute pas. Plus tard, il sèche les cours pour aller au Jardin d'Acclimatation où il aide le gardien à s'occuper des animaux. "Au lycée mes camarades me détestaient. Ils détestaient les marginaux, comme Vigo, fils de l'anarchiste Almereyda, Pierre Merle, fils d'Eugène Merle, Directeur du Merle Blanc.  Moi, j'étais le fils d'un Boche, de ce Painlevé qui s'était battu pour Sarrail, seul et unique général républicain, et qui avait relevé de ses fonctions Nivelle pour le remplacer par Pétain "2. Il finit donc ses années de lycée à l'écart de " ces pauvres malheureux qui étaient comme des commerçants dans leur négoce "3. Parmi ses rares copains, on trouve le futur critique de cinéma, Georges Altman, l'écrivain et spécialiste en pierres précieuses Armand Moss (Moschowitz), que l'on voit en 1927 comme figurant dans  Mathusalem. Finalement, il doit abandonner la préparation à l'Ecole Polytechnique, car il ne comprend rien aux mathématiques4.

Plus tard, quand en 1935, l'Association des anciens élèves du Lycée Louis Le Grand écrit à Jean Painlevé en vue de les nommer, lui et son père, membres d'honneur, il accepte pour son père, mais décline pour lui-même : " J'ai l'intention de contribuer, avec mes modestes moyens à l'abolition complète de l'éducation secondaire qui m'a toujours profondément dégoûtée ", écrit-il au Président de l'Association, " n'ayant jamais fréquenté mes camarades à l'école, je n'ai nullement envie de les fréquenter maintenant "5.

En 1921, Painlevé entame des études de médecine. Deux ans plus tard, il claque la porte au nez du professeur Delbet après un désaccord sur le traitement d'un patient hydrocéphale, traitement estimé cruel par Painlevé6. Il se tourne alors vers la biologie. Et commence à fréquenter la Station Biologique de Roscoff où il rencontre " Ginette " Hamon, fille d'Augustin et d'Henriette Hamon, traducteurs de George Bernard Shaw. Ginette sera sa compagne à vie. Ty an Diaoul, la maison des Hamon à Port Blanc devient rapidement une seconde maison pour Painlevé. Il y reçoit  ses amis, parmi lesquels Boiffard,, rencontré à la Sorbonne, Pierre Prévert qui passe son temps à dessiner des cadavres exquis, Eli Lotar qui plus tard assistera Painlevé à la caméra et Alexander Calder. " Ses inventions étaient sans limites ", dira de lui Painlevé , " il transformait immédiatement tout : cuillères, couteaux, antennes, horloges" . Les journées sont passées à la mer, Painlevé et Boiffard prennent des photos, les soirées à Ty an Diaoul, où on joue au poker " avec des haricots et beaucoup de zèle "7.

Vers cette époque Painlevé se lie d'amitié à Ivan Goll avec qui il collabore à la sortie du premier (et unique) numéro de la revue Surréalisme8. Plus tard, leur amitié se soude par leur commune aversion au mouvement surréaliste orthodoxe, rallié autour d'André Breton. Pour Painlevé, le refus de Breton d'accorder quelque importance à la musique est une raison suffisante pour se distancer. En tout état de cause, Painlevé s'incommode vite dès qu'il s'agit de renoncer un tant soit peu à sa liberté. En 1926, Painlevé jouera un petit rôle et s'occupera de la réalisation des six séquences filmées et projetées sur un fond de nuages blancs lors de la représentation de la pièce de théâtre " Mathusalem " d'Ivan Goll dans une mise en scène de René Sti. (" Sti comme stimulant "). En 1926, Painlevé avait fait la une : " Le fils du Président du Conseil fait du cinéma pour aider le laboratoire d'anatomie comparée de la Sorbonne ". Il s'agit du film - inachevé - " L'Inconnue des six jours " de René Sti où Painlevé joue aux côtés de Michel Simon.

Ce n'est qu'après ces intermèdes que Painlevé se tourne vers la réalisation. Entre 1928 et 1930, il tourne une dizaine de films, dont plusieurs destinés au grand public : " La Pieuvre ", " L'Oursin ", " Le Bernard l'Ermite ", " Crabes et Crevettes ", " Caprelles et Pantopodes ", " Hyas et Sténorinques ".... Sur l'insistance de Robert Lyon, directeur de la Salle Pleyel, Painlevé rencontre Maurice Jaubert et commence à sonoriser ses films tout en conservant les intertitres. A Paris, le public est celui, restreint, des salles d'avant garde. Restreint, mais de qualité : quand le cinéma Les Miracles ouvre ses portes le 23 décembre 1930, la crédibilité scientifique de Painlevé se transforme en légitimité artistique. Le public est venu nombreux pour voir " Hallelujah " de King Vidor, " Disque 957 " de Germaine Dulac et " Caprelles et Pantopodes "  de Painlevé. La presse est très généreuse. Fernand Léger dit que c'est le ballet le plus beau qu'il ait jamais vu. Marc Chagall loue le film de Painlevé comme une source d'inspiration en raison de sa " richesse plastique incomparable " et sa rigueur : " du vrai art sans chichi "9.

"L'Hippocampe"
de Jean Painlevé - 1934

Mais le seul film qui bénéficie d'une distribution digne de ce nom est " L'Hippocampe " dont Bernard Natan de Pathé-Natan financera la sonorisation (Painlevé avait fait une version muette avec intertitres). Il sera montré dans le circuit des salles Pathé Consortium du même groupe, donc une diffusion inespéré. Painlevé n'est pas loin de se faire ce prénom dont il a tellement besoin.

Cinéaste de l'apparence, Painlevé, comme d'autres contemporains, ne s'attache qu'aux caprices des formes et aux jeux de la lumière, et ne s'aventure pas dans le terrain d'hypothétiques spéculations psychologiques sur ses effigies. Il y a chez Painlevé une heureuse réciprocité entre l'animal et l'humain, toute dépourvue de condescendance. Si le scientifique est là pour nommer, comme Adam dans le jardin d'Eden - et Painlevé " joue " volontiers au scientifique (parfois il en rajoute même) - , il ne se cantonne pas dans ce rôle, il se fait surtout le porte-parole des animaux qu'il enregistre et rend visible des phénomènes jamais vus à l'œil nu grâce au microcinéma ,à l'accéléré, au ralenti...

Une de ses grandes déceptions est de ne pouvoir enregistrer les  scènes immédiates, imprévisibles qui, rares et fugaces, le laissent pantois, comme ce paillon qui " assomme à coup d'aile une femelle et la piétine un peu pour lui donner un avant-goût du ménage "10. Son travail, Painlevé le décrit avec son habituelle sens de la litote : " Le métier comporte ses joies pour ceux qui aiment la mer, pour ceux qui l'aiment jusqu'à l'exclusion de toute autre possibilité de joie naturelle. Patauger jour et nuit par n'importe quel temps même où l'on sait ne rien trouver, de l'eau au nombril ou au chevilles, fouiller partout, algues ou pieuvre, s'hypnotiser sur une mare sinistre où tout vous guette alors que rien n'y vit - extase de n'importe quel intoxiqué y compris le chien de chasse kilométrant en tous sens avec un plaisir infini le champ dont chaque repli cache, au plus, une vieille patate "11.

Dans ce bestiaire, on est en effet frappé par la consistance de la curiosité presque jubilatoire avec laquelle Painlevé aborde ses sujets, dans un registre qui va de l'instinct, à l'agressivité, en passant par la tendresse... Il y a là une forme d'engagement de l'humanité à travers l'animalité. Quel étonnant assemblage de couleurs, de fonctions et de formes chez ces animaux, et quels curieux comportements ! Si par certains côtés les humains peuvent s'identifier avec eux  - surtout quand ces côtés sont appuyés par ses images, ses commentaires et la musique qu'il a choisie -, ce n'est pas toujours le cas, loin de là. On est alors saisi par un sentiment d'inquiétante étrangeté. Quelque chose nous dépasse devant la multitude de comportements plus curieux les uns que les autres qu'il nous donne à voir. C'est sans doute le jeux anthropomorphique que pratique Painlevé qu'on lui a le plus reproché. Il s'en explique : " Et combien de légendes à détruire ! Tout est matière à l'anthropomorphie la plus saugrenue, tout a été fait pour l'homme et à l'image de l'homme et ne s'explique qu'en fonction de l'homme sinon " ça ne sert à rien "12... Mais les dispositifs utilisés par Painlevé ne ressemblent en rien ceux utilisés par exemple dans les films d'un Walt Disney qui projète sans détours, au premier degré, les émotions et comportements humains sur les animaux qu'il met en scène. Chez Painlevé, l'anthropomorphisme est mitigé par une forte dose d'ambiguïté et devient un outil de confrontation, souvent une juxtaposition du grotesque et de la beauté.

"Barbe Bleue"
de Jean Painlevé - 1938

Les films de Painlevé sont réalisés en dehors de l'économie normale du cinéma. Painlevé est son propre producteur, il crée en 1930 les Documents Cinématographiques, il écrit et enregistre les commentaires, effectue le montage, choisit la musique (quand il ne la compose pas lui-même comme pour Oursins : des bruits organisés en hommage à Edgar Varèse)...Il écrit des poèmes en prose présentant ses vedettes pour les plaquettes de programmation de ses films. Il cohabite même avec les animaux placés dans des aquariums dans les lieux qui lui servent d'habitation13. Il n'a donc pas d'équipe à proprement parler, mais il y a Ginette, sa fidèle assistante et compagne, André Raymond -rencontré lors du tournage de " L'Inconnue des six jours " - Eli Lotar pour quelques films tournés en 1929, Pierre Merle, assistant de Vigo, Pierre Achille Dufour " le meilleur truqueur de l'époque ", et pour Oursins (1954) c'est Claude Beausoleil qui l'assiste. Quand Léo Sauvage visite le ménagerie entretenue par Painlevé dans " L'Institut dans la Cave " en 1935, il déclare qu'il y a " quelque chose de bohême, quelque chose de frais, de jeune, de vivant, de grouillant et de non-conformiste qui doit faire la pige de la façon la plus insolente à la science momifiée de l'Académie "14 .

"Acera ou le bal des sorcières"
de Jean Painlevé - 1972

En effet, Painlevé fait du " cinéma scientifique " ; outre des films spécialisés de recherche pure, il fait du cinéma scientifique pour le grand publique. Un peu l'équivalent du biologiste allemand, Jakob von Uexküll, qui, en littérature, pour expliquer la biologie au grand public, avait écrit un recueil de lettres à une amie fictive. Painlevé, grâce au cinéma, veut montrer la vie grouillante du monde sous-marin à un " public non averti. ". Pour financer ses réalisations, Painlevé fait des tournées de conférences, en France et à l'étranger. " Des centaines. Trois par jour quelquefois, et pas toujours dans le même patelin. Les boîtes de films étaient moins dures que certains wagons de troisième classe appartenant à des pays où je me rendais en 36 heures de claque-fesse. Comme l'Odéon reprenait " L'Arlésienne " quand la caisse se vidait, je reprenais " L'Etoile du Nord " pour joindre le pays où les esprits sont aussi cultivés que les tulipes... "15.

Comment définir le " film scientifique " ? André Bazin disait que les limites de celui-ci étaient homothétiquement aussi indécises que celles du film "  documentaire ", et que l'essentiel n'était pas qu'on les définisse, mais qu'on les réalise16. Painlevé lui-même revendique le terme peu valorisant et peu porteur de " cinéma scientifique "pour ses films, entendu comme un sous-genre de la classification générale de " documentaire ", dépourvu des notions de cinéma expérimental, cinéma pur ou d'avant garde. En août 1954, Henri Langlois invite Painlevé à s'associer à la manifestation de films d'avant garde qu'il prépare à Zurich, en préparant une programmation qui comprend " ...aussi bien votre propre œuvre, celle de Marey et des réalisateurs individuels de films scientifiques ". Il continue " J'ai supprimé le mot " cinéma scientifique " du programme, en le remplaçant par un euphémisme [avant-garde], qui, tout en rendant hommage à un homme que nous vénérons, permet de traiter du cinéma scientifique sans le nommer "17.

Dans " La Castration du Documentaire "18, une diatribe contre la médiocrité, et l'indigence des documentaires programmés en " première partie " dans les sales commerciales,

Painlevé rappelle la définition du documentaire  sur laquelle s'étaient mis d'accord les membres fondateurs de l'Union Mondiale du Documentaire en 1947 :

" Tout film qui par des moyens rationnels ou émotionnels et à l'aide des prises de vue de phénomènes réels ou de leur reconstitution sincère et justifiée a pour but d'accroître consciemment les connaissances humaines ainsi que d'exposer les problèmes et leurs solutions au point de vue économique, social et culturel. ".

Jean Painlevé - 1950

Dans ce même article, il note que tous les " déchets " présentent les mêmes problèmes : manque de goût cinématographique, méconnaissance des lois élémentaires régissant l'exposé pour un public adéquat (un documentaire est fait quand on a déterminé pour qui et pourquoi), suppression de toute résonance entre le réalisateur et le sujet.

Painlevé sait bien de quoi il parle : ses programmations de films (les siens et ceux des autres), commencées au début des années trente au Musée Pédagogique de la rue d'Ulm, poursuivies plus tard au Palais de Chaillot et au Palais de la Découverte, attirent un public nombreux, séduit par le malicieux mélange des genres qu'on retrouve dans sa propre œuvre. Les films de Painlevé montrent que la bâtardise est un terreau fertile qui peut inspirer de futurs cinéastes.

Brigitte Berg
Photos Collection Jean Painlevé
© Les documents Cinématographiques

^1 Jacques Prévert à Jean Painlevé : " Tu as choisi le bon job. Il ne se démodera jamais "
^2 Jean Painlevé inédit
^3 Jean Painlevé inédit
^4 Jean Painlevé dira plus tard qu'il voulut que les mathématiques fussent abordés comme un langage et non pas comme un mystère.
^5 Lettre de Jean Painlevé au Président de l'Association des Anciens Elèves du Lycée Louis Le Grand, datée 1935
^6 Circonstances décrites par Painlevé dans une saynète " L'opération ", 1984, inédit
^7 Jean Painlevé inédit
^8 Octobre 1924
^9 L'Intransigeant, 23 décembre 1930
^10 Les Pieds dans l'eau par Jean Painlevé, Voilà, 4 mai 1935
^11 Les pieds dans l'eau par Jean Painlevé, Voilà, 4 mai 1935
^12 Les Pieds dans l'eau par Jean Painlevé, Voilà, 4 mai 1935
^13 Selon plusieurs témoignages, la baignoire dans l'appartement de son enfance de la rue Séguier servait avant tout comme réceptacle pour les animaux ramenés des vacances à Ker-Ster, la maison que sa grand'mère maternelle louait à Pouldu en Bretagne. (Une autre célèbre baignoire avait servi à stocker des bobines de films ce qui, selon Jean Painlevé, prouvait que l'on ne se lavait pas, et nullement que l'on était un conservateur compétent).
^14 L'Institut dans la cave par Léo Sauvage Regards, 10 mai 1935
^15 Les pieds dans l'eau par Jean Painlevé, Voilà, 4 mai 1935
^16 Le film scientifique : Beauté du hasard par André Bazin, l'Ecran Français n° 121, 21 octobre' 1947
^17 Lettre d'Henri Langlois à Jean Painlevé, 12 août 1954
^18 La castration du documentaire par Jean Painlevé, Les Cahiers du Cinéma n° 21, Mars 1953

Sélection d'écrits de Jean Painlevé

(Selected Writings by Jean Painlevé) [Chronological]

  • "Neo-Zoological Drama" (Drame neo-zoologique).
    Surréalisme, no. 1 (October 1924).
  • "Why I Make Films" (Pourquoi je veux faire du cinéma).
    Soir (14 January 1928).
  • "The Biology Film" (Les films biologiques).
    Lumière et radio (11 September 1929).
  • "Science and Cinema" (Science et cinéma).
    La Revue du médecin, no. 3 (December 1929).
  • "The Beauty of Documentary Film" (Beauté du film documentaire).
    Monde (18 January 1930).
  • "Marine Photography" (Photographies marines).
    Art et industrie (12 October 1930).
  • "Will the Documentary Always Be Treated As a Poor Relative?" (Le film documentaire sera-t-il toujours traité en parent pauvre).
    L'Effort cinégraphique suisse (January 1931).
  • "On Maintaining Intertitles in Sound Documentaries" (A propos du maintien des sous-titres dans un documentaire parlant).
    T.S.F. programme (3 January 1931).
  • "Mysteries and Miracles of Nature" (Mystères et miracles de la nature).
    VU (29 March 1931).
  • "In the Land of the Headhunter" (Au pays du scalp).
    Monde (6 June 1931).
  • "Cinema Today: On George Altman's Book That's Cinema!" (Le cinéma aujourd'hui, Sur le livre de Georges Altman: Ça, c'est du cinéma!).
    Monde (27 June 1931).
  • "Cinema in the Service of Science" (Le cinéma au service de la science).
    Revue des vivants, no. 10 (October 1931).
  • "A Curse! The Colorado Beetle" (Une calomnie! A propos de la leptionarse).
    VU (20 January 1932).
  • "Scientific Overview" (Tour d'horizon scientifique).
    VU (1 June 1932).
  • "The End of Robots" (La fin des robots).
    VU (1933).
  • "The Redemptive Scalpel" (Autour du bistori rédempteur).
    Le Phare d'eneuilly, no. 1 (1933).
  • "Preparing for a Good Birth" (La préparation à bien naître).
    VU (January 1933).
  • "Scientific Film: Filming through a Microscope" (Le cinéma scientifique: microscope et prise de vue).
    Le Cinéma privé, no. 1 (October 1933).
  • "Filming through a Microscope: Practical Applications" (Microscope et prise de vue: applications pratiques).
    Le Cinéma privé, no. 2 (November 1933).
  • "Three-Dimensional Film" (Le relief en cinéma).
    Le Cinéma privé, no. 7 (April 1934).
  • "The Problem with Science Documentaries" (Le problème du documentaire scientifique).
    VU, special cinema issue (December 1934).
  • "Feet in the Water" (Les pieds dans l'eau).
    Voilà (4 May 1935).
  • "Television" (La télévision).
    La Revue du cinéma educateur (July-September 1935).
    Review of Man, an Unknown,
    by Dr. Alexis Carrel (L'Homme cet inconnu).
    Vendredi (29 November 1935).
  • "Animal Life: Common Crabs and Shrimps" (La vie des animaux: Les vulgaires crabes et crevettes).
    Le Journal magazine (15 February 1936).
  • "Living Underwater" (Vivre sous l'eau).
    Marianne (15 April 1936).
  • "Child Psychology Films" (Les films psychologiques de l'enfance).
    L'Hygiene par l'exemple, no. 2 (November-December 1936).
  • "Evolution" (L'évolution).
    Le Musée vivant, special edition (September-October 1937).
  • "Fakery in the Documentary" (Du faux dans le documentaire).
    Instruire et plaire (December 1938).
  • "Jean Painlevé Responds" (Réponse de Jean Painlevé).
    Cahiers de la jeunesse (April 1939).
  • "How Cinema Reveals the Invisible" (Comment le cinéma nous révèle l'invisible).
    Le Figaro (3 November 1939).
  • "On the New Realism in the Art of Fernand Léger" (A propos d'un nouveau réalisme chez Fernand Léger).
    Cahiers d'art, no. 3-4 (1940).
  • "A New Battle between Old and New: The Film That Will Not Be Shown at Cannes, Farrebique" (Une nouvelle bataille d'Hernani, Le film qui ne sera pas montré à Cannes: Farrebique).
    Les Etoiles (24 September 1946).
  • "On the Documentary" (Du documentaire).
    Servir, no. 44 (October 1947).
  • "Cinema in the Service of Science Teaching" (Le cinéma au service de l'enseignement et de la science).
    La Nation belge, Brussels (9 January 1948).
  • "Meeting Jean Vigo" (Rencontre avec Jean Vigo).
    Ciné-Club, no. 5 (February 1949).
  • "A Filmmaker Has Visited the Slaughterhouses: Blood of the Beasts will now be submitted to the reactions of the public" (Un cinéaste est allé aux abattoirs: Le Sang des bêtes va maintenant affronter les réactions du public).
    Le Figaro littéraire (13 August 1949).
  • "Cinema, Science, and Teaching" (Cinéma, science et enseignement).
    L'Education nationale, no. 15 (April 1951).
  • "We Have Come a Long Way since the Underwater Club" (Depuis le club des sous-l'eau, nous avons fait un long chemin sous la mer).
    La Vigie marocaine, Morocco (21 October 1951).
  • "The Problem with Cinema Clubs" (Le problème des ciné-clubs).
    L'Ecran français (18-24 April 1952).
  • "On Science Film" (A propos du cinéma scientifique).
    Problèmes (May-June 1952).
  • "The Castration of the Documentary" (Castration du documentaire).
    Les Cahiers du cinéma, no. 21 (March 1953).
  • "Scientific Film" (Le cinéma scientifique).
    La Technique cinématographique (1955).
  • "Eric von Stroheim." Les Lettres françaises, no. 671 (May 1957).
    Preface to Game of Seven Errors (Le jeu des sept erreurs, préface).
    Paris: Editions Julliard, 1963.
  • "A Little-Known Pioneer of Scientific Film: Lucien Bull" (Un pionnier trop peu connu du cinéma scientifique: Lucien Bull).
    La Tribune de Genève (17 June 1966).
  • "A Comparative Analysis of Color Film Emulsions" (Sur l'appréciation comparative d'émulsions cinématographiques en couleur).
    Le Technicien du film, no. 159 (April-May 1969).
  • "Scientists As Filmmakers and Filmmakers of Science" (Scientifiques cinéastes et cinéastes scientifiques).
    Cinémaction (1986).
  • "Why Do You Make Films?" (Pourquoi filmez-vous?).
    Libération, special edition (May 1987).
Sélection d'écrits sur Jean Painlevé

(Selected Writings on Jean Painlevé)
  • Au service de la science : comment Jean Painlevé tourne ses intéressants documentaires sous-marins (In the service of science : how Jean Painlevé makes his interesting underwater documentaries),
    by Pierre Lazareff, CINÉMONDE, April 25, 1929
  • L'infiniment petit révélé par le microcinéma (The infinitely small revealed by micro-cinéma)
    by Marcel Hervieu, JE SAIS TOUT, 1929
  • De l'importance du documentaire (On the importance of the documentary film),
    by Pierre de Kerlon, MON CINÉ, Dec 19th, 1929
  • Jean Painlevé's Film NEW YORK TIMES, June 29, 1930
  • Photographies Marines de Jean Painlevé (Marine photographs by Jean Painlevé),
    by Marcel Zahar, ART ET INDUSTRIE, Oct.1, 1930
  • L'art sous-marin (Underwater art)
    by Jean Cassou, ART ET DÉCORATION, Paris, 1st May, 1931
  • Au fond des mers (At the bottom of the sea)
    by Lucie Derain, CINÉMONDE, Paris, Oct. 15, 1931
  • Le film scientifique : les travaux de Jean Painlevé (Science film : the work of Jean Painlevé)
    by Pierre Michaut, CINÉMA, Paris, Nov 1, 1931
  • Jean Painlevé cinéaste et savant. Ses idées et son œuvre (Jean Painlevé, film maker and scientist : his ideas, his work),
    by Léone Bourdel, April 9, 1932
  • M. Jean Painlevé fait le point des recherches sur le cinéma en couleur et le cinéma en relief, (Jean Painlevé resumes the state of research on color and three-dimension in cinema),
    by M. Rochat-Cenise,COURRIER CINEMATOGRAPHIQUE, Nov 12,1932
  • Le film scientifique : l'œuvre documentaire de Jean Painlevé, ou la plus haute forme du cinématographe (Science film : the documentary work of Jean Painlevé or the highest form of cinematography)
    by P. Werrie, LE VINGTIÈME SIÈCLE, Brussels, Dec. 23, 1932
  • Jean Painlevé expose les photos de ses merveilleuses explorations microphotographiques (Jean Painlevé exhibits the photographs of his marvellous micro-photographic explorations), PARIS-MIDI, April 1, 1933
  • Pour de sfilms d'éducation (For educational films),
    by Claude Vermorel, POUR VOUS, August 31, 1933
  • La photographie et le cinémaau service de la science (Photography and cinema in the service of science)
    by René sudre, LE JOURNAL, Paris Oct 12,1933
  • La microcinématographie des phénomènes vitaux (The micro cinematography of vital phenomena)
    by Fernand Lot, LE MIROIR DU MONDE, Paris, Oct 14, 1933
  • Le cinéma, professeur automate (Cinéma, automation professor), SCIENCE ET MONDE, Nov 9, 1933
  • Images fixes et animées, témoins des phénomènes naturels (Still and animated images, wittnesses of naturalphenomena)
    by Paule Hutzler, MIROIR DU MONDE, Paris, 1934
  • Jean Painlevé, la crevette et le bernard l'ermite (Jean Painlevé, the shrimp and the hermit crab)
    by Claude Doré, CINE-MIROIR July 24, 1934
  • La féerie au fond des mers : les amours de l'Hippocampe (The fair at the bottom of the sea: the love life of the Seahorse)
    by Fernando Reyna, VU , Paris, special cinema edition, Dec. 15, 1934
  • And now a Club that Meets Underwater, THE AMERICAN WEEKLY INC., 1935
  • Recording the Sea-Flea's Heart-Beats, A New Field for the Camera,
    by S.H.K.PHOTOGRAPHY, Jan, 1935
  • El congreso cinematografico e los films submarinos de Jean Painlevé (The film festival and Jean Painlevé's underwater films), LA NACION, Buenos Aires, Jan. 6, 1935
  • Las fotografias submarinas de Painlevé (Painlevé's underwater photographs)
    by Fernando Reyna, ESTAMPA, Madrid, Jan. 26,1935
  • Chez Jean Painlevé, cinéaste de l'invisible,
    by Charles Chassé, DEPECHE DE BREST, Feb 13,1935
  • Le cinéma au service de la science (Cinéma in the service of the science)
    by Madelein Epron, BALZAC? Paris, Feb 15, 1933
  • Sea Horses - New Discovery, THE DAILY MIRROR, Feb. 23, 1935
  • Jean Painlevé ou la subversion dans la science : le studio aux vedettes sous-marines(Jean Painlevé or subversion in science : the studio of underwater stars)
    by Leo Sauvage, REGARDS, Paris, April 1935
  • M. Painlevé nous expose ses idées sur les Films d'Enseignement (Mr. Painlevé presents us with his ideas on the educational film),
    by Madeleine Epron, LA CINEMATOGRAPHIE FRANçAISE, n° 26, May, 1935
  • L'institut dans la cave : de l'oeuf d'épinoche à l'Hippocampe (The basement laboratory: from the stickleback's egg to The Sea Horse)
    by Leo Sauvage, REGARDS, Paris, May 10, 1935
  • L'Hippocampe (The seahorse),
    by André Lang, GRINGOIRE, May 17, 1935
  • Jean Painlevé,
    by Claude Aveline, REVUE BLEUE Paris, N° 10, May 19,1935
  • Avec Jean Painlevé : incursion dans la vie sous-marine (An underwater incursion with Jean Painlevé)
    by Leo Sauvage, REGARDS, Paris, June 1935
  • Le cinéma devant le mystère de la vie,
    by Jean Vidal, POUR VOUS, June 6tth, 1935
  • Il maschio incubatore allo schermo L'Ippocampo,
    by I. Coifman, SAPERE, Rome, n° 427, June 15, 1935
  • L'Hippocampe ou cheval marin ,
    by P. Werrie, LE VINGTIÈME SIÈCLE, Brussels, June 23rd, 1935
  • Mystère du monde sous-marin (Mysteries of the underwater world)
    by Sonika Bo, CADET REVUE? Aug 15, 1935 Promenez-vous au fond de l'eau!, JE SAIS TOUT n°356, Aug., 1935
  • The Underwater Club,
    by Mallory Browne, THE CHRISTIAN SCIENCE MONITOR, Boston, Oct. 1935
  • Cinéma scientifique, cinéma éducateur, cinéma d'information générale : éclatante supériorité de la France (Science film, educational film, general information films : the striking superiority of the French)
    by Pierre Michaut, LA CINÉMATOGRAPHIE FRANÇAISE, Paris, special edition, Nov 1935
  • Le club de sous-l'eau (The Sous-l'eau club),
    by René Guetta, MARIANNE, Paris, Dec 4, 1935
  • Un inventeur d'appareils, M. Jean Painlevé (An inventor of apparatus, Mr. Jean Painlevé)
    by M. H.-Berger, LE FASCINATEUR, n° 332, Jan, 1936
  • Figures cinématographiques: Jean Painlevé (Cinematographic personalities: Jean Painlevé,
    by Jacqueline Jacoupy, REVUE DU CINÉMA EDUCATEUR, Jan-April, 1936
  • Under the sea with Painlevé, WORLD FILM NEWS, April, 1936
  • Hippocampes (Seahorses)
    by G. Buffet, REVUE MATFORD, April-May 1936
  • Jean Painlevé nouveau Méliès (Jean Painlevé new Méliès),
    by P.Werrie, LE VENTIÈME SIÈCLE, Nov 6, 1936
  • Nouveauté de vacances: Le tourisme sous l'eau,
    by Georges Genet, JE SAIS TOUT, Aug. 1936
  • Circolo dei Subacquei, (The Underwater Club),
    by Lo Duca, SAPERE, Rome, Sept 30, 1936
  • Les surprenants mystères du monde sous-marin (The surprising mysteries of the underwater world),
    by Claude Dervenn, LE JOUR, Paris, n° 286, Oct 13, 1936
  • La photo clé de tous le sprogrès scientifiques, (Photography, key to all science progress)
    by Jean Tabanou, JE SAIS TOUT, Nov, 1936
  • Maravillas de cinematografo cientifico : la pellicula "Viaje por el cielo" (Wonders of science cinematography: The film : "Voyage in the sky")
    by Fernando Reyna, LA NACION, Buenos Aires, Jan 24, 1937
  • Autour de l'exposition de Paris 1937: Floraison de films documentaires et scientifiques (At the Paris 1937 Exhibition : a budding of documentary and science films),
    by Pierre Michaut, POUR VOUS, April 1, 1937
  • Painlevé -Scientist and Film-maker. A survey of his contribution to educational cinema,
    by Patricia Hutchins, SIGHT AND SOUND, Summer 1937
  • A clay Blue Beard
    by Patricia Hutchins, SIGHT AND SOUND, London, vol. 7, n° 26, 1938
  • Paa LindberghsÖ (On Lindberg's Island),
    by Loulou Eklund, SYDSVENSKA DAGBLATET, Sweden, n° 209, Aug 6,1939
  • Quatre hommes, quatre étapes du cinéma scientifique (Four men, four steps in the development of science film),
    special edition "Le cinéma en l'an 2000" ("Film in the year 2000"), Ed. ROND POINT, 1945
  • Le mari le plus complesant de la terre : l'hippocampe (The most complacent husband on earth : the seahorse), LA FEMME, July 25, 1945
  • Sur le seuil d'un nouveau monde 'La bombe atomique n'et qu'un modeste début', déclare Jean Pinlevé (On the threshold of a new world 'The atomic bomb is only a modest beginning' declares Jean Painlevé),
    by Pierre Le Christian, LIBÉ-SOIR, August 8,1945
  • Des assassins d'eau douce aux espions de haute mer (From fresh water assassins to spies of the high seas), L'ÉCRAN FRANÇAIS, n° 57, July 21, 1946
  • From China tro Peru : an account of some films seen in France
    by Patricia Hutschins, SIGHT AND SOUND, London, vol. 16, n° 61, spring 1947
  • Jean Painlevé et les ciné-clubs (Jean Painlevé and the cine-clubs)
    by Georges Sadoul, l'ÉCRAN FRANÇAIS, Paris July 10, 1947
  • Jean Painlevé, poète et homme de science (Jean Painlevé, poet and scientist),
    by René Dasen, L'ILLUSTRÉ? Paris, Nov 6,1947
  • Sur l'écran, Jean Painlevé nous dévoile les mystères de la vie (On the screen Jean Painlevé unvelis the mysteries of life),
    by rené Dasen, POUR TOUS, Paris Nov 7, 1947
  • Die Natur im Film (Nature films), NEUE BERNER ZEITUNG, Berne, Nov 8, 1947
  • L'écriture du mouvement est née (Notation of mouvement is born)
    by André Lacher, LE FIGARO, May 19, 1949
  • Französischer Film im Dienst der Wissenschaft (French film in the service of science)
    by Wilma Fritsch, BLICK IN DIE WELT , n° 12, Dec. 1949
  • The world of Jean Painlevé
    by John Maddison, SIGHT AND SOUND, London, vol. 19 (New series) n° 6, August 1950
  • Scienza e Ciarlatani, (Science and charlatans),
    by Enrico Fulchignoni, CINEMA, Italy, Oct 15, 1950
  • Educazione al film et a mezzo del film (Education in and by film)
    by Luigi Volpicelli
    and Una Cineteca Internazionale per I Films Scientifici (An International Cinemathèque for Science Films)
    by Virgilio Tosi, CINEMA, Rome, Dec. 1, 1950
  • Grâce à la caméra, la science pénètre dans un monde inconnu (Thanks to the camera, science penetrates a new world)
    by Maurice Goldsmith, LE COURRIER DE L'UNESCO, Vol. IV n° 8, Sept 1951
  • Jean Painlevé et l'orientation du cinéma scientifique (Jean Painlevé and the orientation of science film), SCIENCE ET VIE, n° 426, March 1953
  • L'académie imaginaire (The imaginary academy)
    by Paul Guth, Éditions d'Histoire et d'Art,
    Photos by Jean-Marie Marcel, Librairie PLON, Paris, 1954
  • El Festival de Cine Documental, (The Documentary Film Festival),
    by Calvero, MARCHA, Montevideo, Uruguay, June 18, 1954
  • La natura e il cinema nell'opera di Jean Painlevé (Nature and cinema in Jean Painlevé's work),
    by Carlo Battisti, IL GIORNALE DEL MATTINO, Italy, April 25, 1955
  • Pour les spécialiste du cinéma scientifique, Les étoiles du ciel valent dix fois celles de Hollywood (For the specialists of science film, The stars in heaven are worth ten times those of Hollywood),
    by Sylvain Zegel, LE FIGARO LITTÉRAIRE, Oct 15,1955
  • JEAN PAINLEVÉ, savant par l'image (Jean Painlevé, scientist of images), LA VIE CATHOLIQUE ILLUSTRÉE, n° 547, Feb. 5, 1956
  • A Roscoff, capitale de la biologie marine, un algologue fait sa thèse sous l'eau (In Roscoff, capital of marine biology, a specialist on algae, writes his thesis under water),
    by Fernand Lot, LE FIGARO LITTÉRAIRE, Sept 15,1956
  • Cinema et vulgarisation scientifique (Cinema and popularization),
    by Anne Philipe, LES LETTRES FRANÇAISES, May 16-22, 1957
  • J'ai interviewé Jean Painlevé (I interviewed Jean Painlevé)
    by Henri Gaubert, NATURALIA, Paris, n° 45, June 1957
  • Pour le cinéaste Painlevé, les vedettes sont millimetrées (For the filmmaker Painlevé, his stars are measured in millimeters), TELE MAGAZINE, n° 168, Jan 11-17, 1959
  • Parce qu'il ne savait pas dessiner Jean Painleé a fait de la caméra un instrument scientifique (Because he did not draw well, Jean Painlevé made the camera into a scientific tool)
    by Bernard Heu, TELE MAGAZINE, n° 169, Jan 11-17, 1959
  • Les animaux ont eux aussi leurs champions (Animals have their champions too)
    by Robert Colombibi, SPORT ET VIE, n° 34, March 1959
  • Le ballet des mondes invisibles (The ballet of invisible worlds),
    by Pierre Leprohon, RADIO TELEVISION CINEMA, July 3, 1960
  • L'Aquarium de Nouméa: des années de travail si j'avais le temps déclare le Professeur Jean Painlevé (The Noumea Aquarium : years of work if I had the time, declares Professor Jean Painlevé), FRANCE AUSTRALIE, Sept 3, 1975
  • Jean Painlevé qui fait voir l'invisible (Jean Painlevé unveils the invisible)
    by H. Hazéra and D. Leglu, LIBÉRATION, Paris Nov. 15-16, 1986
  • Jean Painlevé : voir d'abord,
    by Jean-Jacques Henri, LES CAHIER DU CINÉMA, Sept 1989
  • Jean Painlevé : la science et l'image (Jean Painlevé : Science and the image),
    by Hélène Hazéra, POSITIF, Feb. 1990
  • 'Poet of invisible' Unveils Nature's Secret,
    by Calvin Ahlgren, SAN FRANCISCO CHRONICLE, July 7, 1991
  • Jean Painlevé and Mark Dion
    by Jason Simon, PARKETT, n° 44, 1995
Bibliographie

(Books)
  • "Le Cinéma Scientifique Français" (French science film)
    by P. Thévenard and G. Tassel, introduction by Jean Painlevé, Ed LA JEUNE PARQUE, Paris, 1948
  • "Science in Films"
    by Blowden Lloyd, Sampson Low, Marston & Co., Ltd., London, 1948
  • "Le cinéma et l'homme imaginaire" (Cinema and the imaginary man)
    by Edgar Morin, Ed. MINUIT, Paris, 1956
  • "Jean Vigo"
    by P.E. Sales Gomès, Editions dyu Seuil, Paris, 1957
  • "L'Art des bruits" (The art of noise)
    by Luigi Russolo, Collection AVANT GARDES edited by Giovanni Lista, Ed L'Age d'Homme, Lausanne, Switzerland, 1975
  • "Artaud vivant" (Artaud alive)
    by Odette et Alain Virmaux, Nouvelles éditions Oswald, Paris, 1980
  • "Jean Vigo"
    by Pierre Lherminier, Ed.PIERRE LHERMINIER/FILMEDITIONS, Paris, 1984
  • "Documentary: a history of the bon-fiction film"
    by Eric Barnouw, 2nd Revised Edition, Oxford Uiniversity Press, 1993
  • "Ein Wilderer : Jean Painlevé 1902-1989" (A poacher : Jean Painlevé 1902-1989)
    by Frieda Grafe, ZOO, Ed. Stroemfeld, Basel, Switzerland, 1997
  • "Des années folles aux années noires" (From the crazy years to the dark years)
    by Christian Bouqueret, Ed. MARVAL, Paris, 1997
  • "Photographie et surréalisme" (Photography and surrealism), Vol 1 "La Naissance de la photographie comme média" (The Birth of photography as medium) , Vol 2,
    by Alain Fleig, Ed.IDEES ET CALENDES Neuchâtel, Switzerland, 1997
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